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Le registre du notaire Daguzan de 1588.

En août, je suis passé par les archives départementales du Gers où j’ai quelque peu photographié des pages de certains notaires de Monfort. « Quelques », cela donne quand même environ 1000 pages de documents que je vais pouvoir déchiffrer durant le reste de l’année, jusqu’à mon prochain passage à Auch.

Comme j’avais photographié tous les registres du notaire Lauzéro, Il m’en reste encore beaucoup à faire tout en restant globalement dans le XVI et XVIIe siècle, période que je privilégie actuellement dans l’étude de la vie de mes ancêtres puisqu’elle est la plus difficilement identifiable. Grâce à la lecture du notaire Lauzéro, j’ai déjà bien avancé à propos de la fratrie des Joseph, Jean et Antoine qui sont tous décédés dans les premières années du XVIIe siècle. Il me reste une grande inconnue que représente leur mère et père. Ce dernier se prénomme Jean mais je n’ai pour ainsi dire pas grand chose sur lui. Cela reste aussi que je pense (c’est de l’ordre du ressenti) qu’il y a une autre branche mais je suis loin de pouvoir affirmer cela. De plus, autant les Broqueville passent leur temps chez les notaires à partir du début du XVIIe siècle, autant ils en sont quasiment absents le siècle précédent. Ils étaient certes moins nombreux et aucun ne savait signer.

J’ai découvert une nouvelle série de notaires à Monfort. Les notaires sont classés dans la série 3E. Mais là, ils sont classés dans la série E, à un autre endroits des archives. Ce sont ceux-là que j’ai consulté, cette  fois-ci. Du coup j’ai retrouvé dans cette série, les notaires Sabathier. Il y en a effectivement plusieurs qui couvrent environ un siècle.

Je sais que j’ai fait quelques découvertes mais je dois évidemment encore les lire et donc cela sortira au fur et à mesure sur ce blog. J’ai retrouvé aussi un registre paroissial de Monfort-Esclignac de 1599 à 1617. Hélas, les premières années semblent avoir disparu, Ce sont des registres microfilmés pas fort lisibles. A creuser aussi.

Je suis passé à Monfort et j’ai pris le temps de photographier le registre de 1727 que je n’avais jamais abordé. J’ai revu avec plaisir Simone Gallènne et son mari avec qui nous avons passé du bon temps. Ce fut un passage assez court dans les archives qui vont me permettre d’aller plus loin dans les mois qui viennent.

Géry de Broqueville