Nos aïeux en toutes les langues

Nos aïeux en toutes les langues

En cherchant sur Internet des informations sur mes aïeux, je découvre que son nom est traduit en beaucoup de langues. En hébreux son nom s’écrit ainsi שארל דה ברוקוויל ce qui se traduit aisément en arabe par شارل دى بروكفيل. Voici le cyrillique Броквиль, Шарль де et autant donner, tout de suite, le mandarin 布罗克维尔伯爵 pour contenter tout le monde… Au fond cette introduction n’a aucun intérêt en soi.

Ce qui est le plus intéressant, ce sont les assertions « Charles de Broqueville » dans les bibliothèques dans le monde. Celle qui contient le plus de documents sur ma famille est la Bibliothèque nationale de France (Bnf) et plus particulièrement son catalogue en ligne « Gallica« . Gallica mélange parfois le patronyme Broqueville à celui de Briqueville ou avec des variantes d’écriture. Il n’empêche que cette bibliothèque apporte son lot d’informations très intéressantes sur notre famille. Au bas de la page consacrée à Charles, il y a des références vers d’autres sites Internet de diverses bibliothèques internationales. (suite…)

Les ombres de la lumière

Les ombres de la lumière

Lydia dans une rue de Namur en 1943 (photo prise par un photographe ambulant)

Outre ses romans et essais, Huguette de Broqueville a bien entendu, publié de son vivant beaucoup d’articles dans diverses revues tant belges qu’internationales. Nous découvrirons au gré de mes trouvailles dans ses (très) nombreuses archives des textes qui auront pour mérite de faire vivre sa mémoire et surtout des écrits qui ne sont pas connu du grand public.

Les romans ne seront pas versés ici au format PDF d’autant que les éditeurs ne nous le permettraient pas. Et puis, il y a toujours moyens de les trouver dans de nombreux sites de ventes aux enchères, au détail, sous le manteau, chez les bouquinistes.

Dans les rangements, avec ma sœur et mon frère, nous retrouvons des textes parfois en un seul exemplaire, voire inédit, comme celui que vous allez pouvoir lire quand vous aurez cliqué en bas ce page.

Si Lydia était sa mère, elle était notre grand-mère. Donc tous les textes décrivant cette femme courageuse touche notre fratrie. C’est pour cette raison d’ailleurs que ces histoires, qui ne concernent que de très loin la famille Broqueville (1), se trouvent dans le site parallèle, huguette.broqueville.be.

Géry de Broqueville

(1) Arnaud de Broqueville et Lydia se sont croisés probablement, furtivement dans les bois de l’oncle Hervé ! Nous en parlerons plus en détail dans un autre article.