Il faut donc attendre le 18 janvier 1643, pour assister au pacte de mariage d’entre Mathieue Broqueville et de Pierre Ponsin. Ce pacte n’apporte rien de bien intéressant en rapport à ce que nous connaissons déjà ! Alors pourquoi en parler ? Pour simplement le placer dans la collection des actes officiels déjà répertorié sur […]
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Catégorie : Les branches
Deux Jean fils de deux Andrieu
Je connaissais déjà un Jean fils d’Andrieu. Je viens de terminer la lecture d’un contrat d’apprentissage d’un autre Jean fils d’Andrieu. Mine de rien, les registres du notaire royal, Pierre Mazars sont riches en informations et en surprise Comment puis-je affirmer aussi vite que je me retrouve avec un autre Jean fils d’Andrieu ? Plusieurs […]
Accord entre père et fils tout en paix e
Voilà un bel accord qui précise bien les pièces du puzzle que j’ai mis tant de temps à reconstituer ces dernières années à propos de cette branche de Janotet. Grâce à cet accord entre le père et le fils, j’ai la preuve concrète de deux des trois mariages de Joseph ! Pour ce qui est […]
Testament de Guillemette Lanne
Guillemette Lanne aura écrit deux testaments dans sa vie, celui de 1620 (1) et celui de 1635 (2). Malheureusement, celui de 1620 n’est qu’un lointain souvenir dont nous n’avons que l’intitulé dans le sommaire du notaire Lauzéro pour cette année-là. Le testament de Guillemette nous apporte uniquement des précisions concernant ses enfants encore en vie […]
Charlotte de Lavedan, orpheline ?
Toujours chez le notaire Mazars (1) que je suis en train d’éplucher petit à petit, je trouve un acte de “reconnaissance pour Charlotte de Lavedan, femme à Joseph Broqueville, marchand“. Ce genre de texte apporte toujours son petit lot d’informations intéressantes. De Charlotte de Lavedan, j’ai très peu d’informations. je ne connais pas non plus […]
Deux Jean pour une même femme
“Deux Jean pour une même femme” n’est peut-être pas le meilleur titre, mais c’est probablement le plus juste. Le texte qui va suivre n’est pas évident du tout à écrire pour bien se faire comprendre. Il faut reconnaître que je suis tombé des nues en lisant ce texte, qui fort heureusement, n’est pas trop compliqué […]
Propriétaire à Estramiac, maintenant !
Jean Broqueville fils d’Antoine, bourgeois est propriétaire d’au moins un bien à Estramiac comme nous le raconte le notaire Mazars (1) en cette année de grâce 1631. C’est la première fois que je vois le nom d’Estramiac chez les notaires. Il n’est pas le seul membre de la famille à posséder des terres en dehors […]
Quand les murailles s’effondrent
En lisant un acte d’accord entre des cousins Broqueville-Lauzéro, je me souviens d’une histoire de murailles que j’avais déjà décelé chez un notaire, il y a quelques années. Ayant classé très bien toutes mes lectures de textes anciens, je suis très rapidement tombé sur le texte en question. Voici deux récits parallèles pour un même […]
Il faut avoir l’œil !
Quand on passe en revue les notaires, il y a parfois des grands moments de lassitudes tant il y a des interventions des Broqueville dans tous les domaines, tant pour eux-mêmes qu’en tant que témoins d’actes dont ils n’ont rien avoir. Mais il faut toujours avoir l’œil bien ouvert pour déceler des subtilités qui font […]
Donation de Joseph Broqueville à Jean d’
Le 2 avril 1654, soit 4 jours avant sa mort, Joseph Broqueville fait un acte de donation (1) d’une maison et d’un jardin se trouvant rue de Sainte-Gemme, d’une autre maison située rue de Marahouat dans l’enclos de la ville de Monfort. En plus il donne la somme de 63 livres à son neveu Jean […]
Le testament de Barthélémie Espiau
Barthélémie Espiau fille de Jean et de Anthonie Pomez. Femme de Bernard Broqueville (ap. 1565 – entre 1649-1664) est alitée de maladie corporelle et sent sa fin approchée à grand pas (1). Effectivement, elle décède le 26 août 1647, soit deux jours après le testament. D’elle on ne sait pas encore grand-chose puisqu’elle apparaît de […]
L’émancipation de Sanson Broqueville
Sanson Broqueville vit à Bordeaux depuis plusieurs années. Le 28 août 1646 par acte devant le notaire Mazars (1), il lui donne la somme de 500 livres pour s’installer comme marchand. Ce son est déjà comme une émancipation qui sera effective deux ans plus tard.