par Géry de Broqueville | Nov 15, 2021 | Esclignac, Santé
Je ne suis pas avare de coup de gueule devant l’incurie des pouvoirs publics français incapables de sauver le plus ancien château du Gers dont les fondations remontent probablement au XIe siècle. Le château actuel a été construit fin du XVe siècle. Esclignac n’est pas qu’un château à sauver. Il s’agit de sauver un hameau qui avait sa vie propre, indépendante de celle de la bastide de Monfort, voisine
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par Géry de Broqueville | Juin 30, 2018 | Agriculture, Entrepreneur, Presse, Santé

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Il est vrai que je ne parle pas beaucoup de mes activités alors que je consacre beaucoup de temps à la rédaction d’articles sur la famille Broqueville. Au fond puisque j’en suis un, j’ai décidé de parler un peu de mes activités.
Comme on le vois à travers ce blog, mes ancêtre étaient vignerons et propriétaires terriens. Je n’ai toujours pas la preuve de leur implication pratique dans l’agriculture mais ils connaissaient très bien la pratique puisqu’ils prennent en gasaille des bestiaux ou encore loue à demi-fruit leur terre, histoire de se nourrir quand même du produit de la terre. (suite…)
par Géry de Broqueville | Juin 10, 2017 | Histoire, Santé

La médecine du XVIIe siècle.
A Monfort, lorsque l’on se sent malade, à un certain âge, non défini, il est de bon ton d’écrire son testament pour essayer de régler les différents éventuels qui pourraient exister entre enfants, voire beaux-enfants. Le testament ne règle pas tout, puisque l’on voit de nombreuses contestations suite au décès de la personne. La convoitise entraîne hélas parfois bien des problèmes qui durent parfois des années durant. Mais cet article n’est pas consacré à ces problèmes.
Je m’arrêterai à la notion du corps malade. L’expression. Dans le testament de Anne Lannelongue, femme de Jean Saliné, daté du 21 mars 1689 (1) elle est dite « allongée dans son lit, malade de certaines maladies corporelles toutefois seine de son bon sens, mémoire et entendement bien voyant, ayant connaissant et parfaitement parlant de son bon gré et volonté a fait et ordonné son dernier et valable testament en la forme et manière qui s’en suit (…) » Le notaire note bien qu’Anne est malade dans son corps, sans pour autant préciser la nature des maladies. Le sait-il d’ailleurs. Ce n’est du reste pas son rôle de l’écrire. (suite…)