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Le linge de maison

Déjà tout petit, je ne comprenais pas pourquoi le linge de la maison portaient des marques brodés en rouge. Pour moi, une serviette était une serviette. Visiblement chaque essuie, chaque drap avait sa place dans la maison. Je dois reconnaître que cela se passait pas comme cela dans la maison de mon enfance. Mes parents […]

Nos aïeux en toutes les langues

En cherchant sur Internet des informations sur mes aïeux, je découvre que son nom est traduit en beaucoup de langues. En hébreux son nom s’écrit ainsi שארל דה ברוקוויל ce qui se traduit aisément en arabe par شارل دى بروكفيل. Voici le cyrillique Броквиль, Шарль де et autant donner, tout de suite, le mandarin 布罗克维尔伯爵 […]

Les Arnaud

Après le décès de notre figure de proue, Charles de Broqueville, le ministre, nous étions, dans la famille, habitué à nommer les branches par le prénom de leur auteur. Ainsi il y avait les Jacques qui est ma branche, les André, les Pierre notamment… et les Arnaud (1). Mais ce n’est pas de cela qu’il […]

Un arbitrage fondamental

L’arbitrage entre les deux branches aînées et la branche cadette Broqueville fige définitivement les trois grandes branches familiales. A la lecture de cet arbitrage, ma connaissance des trois branches, existantes dès le milieu du XVIe siècle, ne m’était pas aussi précise. Les classements des milliers de pages photographiés dans les archives, les codes de couleur […]

Un mot mal placé

Pour un mot mal placé, j’ai failli écrire que Janotet était devenu tuteur d’un oncle. En réalité, nous sommes bien en présence d’un oncle tuteur d’un neveu. Il s’agit d’un acte chez le notaire Lauzéro (1) daté du 16 septembre 1601 où Janotet conclu un acte de bail pour une métairie au lieu dit de […]

Dépense de 8000 francs

Jean-François et Louis Elizabeth Eugène de Broqueville, père et fils, achètent des terres pour la somme de 8000 francs (1). Ces terres situées notamment non loin du château d’Esparbès, représentent une grosse somme pour l’époque. (2) Père et fils sont en quête de terres pour, probablement, reconstituer un domaine morcelé au cours des ans.

Un risque calculé ?

Emprunter reste toujours un risque, fusse-t-il calculé. Jean-François et Louis Elizabeth Eugène de Broqueville, père et fils emprunte une somme de 6000 francs, le 30 mars 1866, pour trois années. C’est une grosse somme pour l’époque. Il suffit de lire la liste des biens mis en hypothèque pour garantir cet emprunt pour comprendre les intérêts […]